UN ARRET IMPITOYABLE
Au terme de l'arrêt de condamnation rendu le 27 mai 1610, François Ravaillac doit être conduit place de Grève et y être "tenaillé aux membres, bras, cuisses et gras de jambes, sa main dextre tenant le couteau duquel a commis ledit parricide ards et brulez de feu de soulphre et sur les endroits où il sera tenaillé, jeté du plomb fondu, de l'huile bouillante, de la poix raisine bruslante, de la cire et soulphre fondus ensemble. Ce fait, son corps tiré et démembré à quatre chevaux, ses membres et corps consumés au feu, réduits en cendres, jeté au vent...".
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